Le LocaL - commerce équitable et solidaire
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                                 La charte pour le commerce équitable
 
Ce texte a été élaboré par des organisations qui importent ou commercialisent des produits venant de pays du Sud. À partir de leur expérience, acquise depuis les années 70, elles proposent une définition du commerce équitable, qui dépasse le cadre des échanges Sud-Nord.
 
 
 
LE COMMERCE EQUITABLE
 
L’objectif est de permettre aux producteurs et aux consommateurs de vivre leur dignité et leur autonomie,en retrouvant la maîtrise et le sens de leurs actes.
 
   Des changements structurels sont nécessaires dans la pratique du commerce actuel. Le commerce équitable crée les conditions requises pour atteindre cet objectif. En effet, le commerce équitable organise les échanges autour de critères impératifs, qui peuvent être vérifiables à tout moment, et d’autres critères qui s’inscrivent davantage dans une démarche de long terme, que chaque acteur du commerce équitable cherche à atteindre. Nos engagements impératifs ont trait aux droits élémentaires de l’homme et à la transparence des relations permettant à chacun de faire valoir ses droits. Les autres engagements ont trait à une amélioration indispensable de l’organisation de la filière, mais doivent tenir compte des contextes de départ.
 
ENGAGEMENTS IMPERATIFS
 
   1. Dans une approche solidaire du commerce équitable, travailler d’abord avec les producteurs parmi les plus défavorisés, dans le cadre d’un développement durable.
 
   2. Refuser systématiquement une quelconque forme d’esclavage ou de travail forcé, y compris l’exploitation des enfants.
 
   3. Contractualiser entre les différents partenaires des garanties portant sur :
· le prix du produit qui permet une juste rémunération des acteurs économiques. Celle-ci prend en compte leurs besoins et ceux de leurs familles, notamment en termes de formation, de santé, de protection sociale...
· la qualité des produits,
· le versement d’un acompte, lorsque les organisations de producteurs n’ont pas le fonds de roulement nécessaire pour acheter la matière première, ou pour vivre tout simplement entre la commande et le règlement final.
· le délai de livraison.
 
   4. Privilégier des relations commerciales durables avec les producteurs. Pour eux, c’est la durée qui assure l’avenir.
 
   5. Assurer la transparence dans le fonctionnement des différents partenaires, qui passe par une information réciproque à chaque étape sur les conditions de travail, les salaires, la durée des relations, les processus de production et de distribution, les prix, les marges...
 
   6. Accepter le contrôle sur le respect de ces principes, à chaque étape du processus.
 
CRITERES DE PROGRES
 
   1. Une organisation participative respectueuse de la liberté d’expression et de l’avis de chacun. Cela peut se traduire dans un groupe par une prise de décision démocratique, ou dans une entreprise, par la négociation entre patronat et syndicats...
 
   2. Le respect de chacun, sans discrimination aucune.
 
   3. L’élimination du travail des enfants en utilisant les moyens les plus adaptés dans l’intérêt de l’enfant. Le travail des enfants ne peut être toléré que dans une période transitoire, en vue d’une scolarisation ou d’une formation. Souvent, l’arrêt immédiat du travail des enfants générerait des conséquences plus préjudiciables encore aux enfants et à leur famille.
 
   4. La valorisation des potentiels locaux des producteurs : utilisation d’une matière première ou d’un savoir-faire locaux.
 
   5. Une production et une distribution favorisant une utilisation raisonnée des matières premières et des sources d’énergie, ainsi que leur renouvellement.
 
   6. Le circuit le plus court et le plus simple possible entre producteurs et consommateurs.
 
   7. L’encouragement des producteurs à l’autonomie, en privilégiant la diversification des débouchés, notamment sur le marché local. L’activité économique doit être rentable en elle-même, et donc parfaitement distincte d’autres formes de financements.
 
   8. Un engagement des acteurs envers leur environnement socio-économique. Par exemple, les bénéfices réalisés sont réinvestis dans l’entreprise et/ou dans des programmes de développement à caractère collectif, économique, écologique ou social, y compris la formation.
 
   9. Une information qui permette :
· au consommateur d’effectuer un achat fondé et responsable, à l’acte d’achat de relier le producteur au consommateur.
 
 
   Le commerce équitable ne s’établit pas seulement à travers une relation économique, mais favorise des échanges culturels et sociaux avec les producteurs, ou tout au moins avec les pays auxquels ils appartiennent.
 
 
UN CONSTAT
 
   Le commerce est l’activité d’échange de biens et de services entre des personnes. Cette activité est indispensable à toute société. Mais l’organisation actuelle du commerce se fait souvent :
 
  · à l’insu du producteur comme du consommateur : le producteur ne connaît pas la destination de son produit, le consommateur en ignore la provenance réelle,
 
  · au détriment du producteur et du consommateur : les intermédiaires les plus puissants (grandes marques commanditaires, groupes industriels, organismes financiers, grands distributeurs, centrales d’achat) imposent leurs règles, leurs prix, voire même leurs produits aux producteurs, comme aux consommateurs.
 
   D’un moyen de relation entre les hommes, le commerce est souvent devenu un enjeu de pouvoir et de profit privé lié à la spéculation à court terme. Inéquitable, cette forme du commerce banalise une relation de dominant - dominé. Ce n’est pas le commerce en tant que tel qui est un problème, mais son utilisation comme arme économique. Cette situation entraîne un déplacement des marges vers l’aval (les producteurs voient leur marge s’éroder sous la pression des industriels et des distributeurs), appauvrissant les producteurs au plan économique, dans l’organisation de leur travail et dans la satisfaction de leurs besoins essentiels, ainsi que ceux de leur famille.
   Ce commerce est responsable de la dégradation des termes de l’échange (pendant que le prix des matières premières décroît systématiquement sur le marché mondial, le prix des produits finis, que les pays producteurs de ces matières premières importent des pays industrialisés, augmente). Placés dans ce contexte, les producteurs fabriquent des biens dans des conditions de travail souvent inhumaines, voire d’esclavage. Les conséquences sont alors déplorables tant pour eux que pour l’environnement (social, économique, écologique, culturel). Cette réalité se vérifie dans l’ensemble du commerce, tant au niveau local qu’international
 
 
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le commerce équitable :
 
   Comment les organisations de commerce équitable apportent-elles aux producteurs un support financier ?
 
   Beaucoup de petits producteurs et paysans du Tiers Monde n'ont pas accès au crédit. Les organismes du commerce équitable leur offrent des possibilités de financement et de pré-paiement des récoltes, ou les mettent en contact avec des sources potentielles de financement. Alors que la plupart des importateurs attendent de 60 à 90 jours pour payer leurs fournisseurs, les organisations du commerce équitable fonctionnent avec un système de pré-financement qui permet aux producteurs d'avoir suffisamment d'argent pour payer le matériel et les besoins élémentaires pendant la production.
 
   Comment les organisations du commerce équitable, apportent-elles un soutien technique aux producteurs ?
 
   Les organisations du commerce équitable apportent également aux petits producteurs des informations sur les marchés, sur les produits consommés, sur la gestion de leur production. Dans une logique totalement opposée à ce qui est pratiqué par les grosses firmes, les organisations du commerce équitable établissent des relations sur le long terme avec les petits producteurs et les aident à s'adapter aux nouvelles tendances du marché qui les concernent.
 
   Un produit équitable, c'est quoi ?
 
   Quatre critères de base donnent un caractère "équitable" aux produits :
 
   1. Le nombre d'intermédiaires doit être limité : les produits sont achetés le plus directement possible à des petits producteurs organisés sur une base collective, par exemple des coopératives villageoises. Cela permet aux producteurs d'éviter la pression des intermédiaires.
 
   2. Le prix d'achat doit être "juste" : il doit permettre au producteur d'atteindre un niveau de vie décent. Il se compose le plus souvent : d'un prix minimum garanti (qui ne varie pas en fonction de l'offre et de la demande, ni des cours de la bourse, ni des pressions liées à des pratiques locales - par exemple, des artisans obligés de vendre leurs produits à des prix très bas pour garder le marché offert par l'intermédiaire - ), et d'un montant de solidarité supplémentaire qui peut éventuellement s'y ajouter. Ce prix équitable est toujours plus élevé que celui du marché, et cela, quelles que soient les fluctuations des cours.
 
    3. La production peut être pré-financée : les producteurs peuvent bénéficier d'un préfinancement partiel de la production alimentaire ou artisanale, ce qui leur évite de devoir s'endetter auprès d'usuriers
 
   4. Les relations contractuelles doivent être durables : des relations contractuelles de long terme lient les partenaires du Nord et du Sud. Pour le café labellisé Max Havelaar, les importateurs sont invités à s'engager pour un an minimum, renouvelable.
Pour résumer, un prix équitable est un prix acceptable à la fois pour l'acheteur et pour le vendeur, et qui permet au producteur de bénéficier des avantages suivants :
 
   · un accès au marché
   · une rémunération du travail qui soit juste et qui permette un développement durable des producteurs, de leurs familles et de leurs communautés
   · une relation commerciale qui valorise les producteurs et promeut le respect mutuel
   · une amélioration des conditions de travail, la possibilité d’avances de paiement
   · des produits à un prix juste : un prix qui couvre le coût de production, incluant le coût social et environnemental. Il doit assurer aux producteurs un niveau de vie décent et une marge destinée aux investissements. Dans le cas de denrées primaires, comme le café ou le cacao, dont les cours sont fixés sur des bourses internationales, le mouvement du commerce équitable paie le prix international plus une marge supplémentaire.
 
Les produits équitables sont-ils plus chers que les produits traditionnels ?
 
   Le fait que les petits producteurs soient rémunérés suivant un prix "juste" signifie qu'ils sont payés à un taux supérieur à celui du marché. En effet, les prix du marché ne leur permettent pas de faire face à leurs besoins élémentaires. Aussi, le dispositif du commerce équitable entend les payer suivant "un prix équitable" leur permettant de couvrir ces besoins élémentaires.
   Mais, payer les producteurs à un prix "équitable" ne signifie pas que cela va coûter plus cher au consommateur : dès lors que le système du commerce équitable vise à réduire au maximum le nombre d’intermédiaires, et à travailler en direct avec les producteurs, il permet simplement de réduire les coûts et d'allouer un pourcentage plus élevé aux producteurs.
   Nombreux sont en réalité les produits extrêmement compétitifs, comme c'est le cas des bananes portant le label "commerce équitable" et vendues depuis peu aux Pays-Bas et en Suisse. L’absence d'intermédiaires dans la chaîne de distribution couplée à la précieuse contribution des volontaires du mouvement explique aisément ce genre de performance.
 
Qui sont les producteurs ?
 
   Il s'agit d'associations de producteurs, de coopératives, d'ateliers protégés, d'organismes publics, d'entreprises privées et, de plus en plus souvent, de groupes du Nord dont la production s'inscrit dans l'économie sociale. Tout groupement se conformant aux critères décrits plus haut est un partenaire potentiel du mouvement du commerce équitable.
  Toutefois, pour être accepté, il doit être en mesure de proposer un produit commercialisable à un prix raisonnable et en quantité suffisante. L'EFTA (Association européenne du commerce équitable) importe actuellement des produits de 800 partenaires commerciaux situés dans 45 pays du Sud - ce qui représente 800.000 familles de producteurs soit cinq millions de personnes environ.
   Les producteurs bénéficient d'un accès direct au " marché des échanges équitables " de l'Union Européenne, qui leur ouvre souvent la porte au marché général. Ils sont assurés de recevoir un prix juste et décident librement de la manière dont la surprime sera distribuée dans l'intérêt de leurs communautés. Les producteurs ne commercialisent habituellement qu'une petite partie de leur production dans le cadre du partenariat du commerce équitable, le solde étant écoulé aux conditions courantes. Même s'il ne couvre qu'un pourcentage limité de la production, le versement d'un prix équitable engendre la hausse des cours : en effet, lorsque les organisations du commerce équitable achètent une partie de la production à bon prix, les stocks disponibles pour les négociants s'en trouvent réduits, et ceux-ci, sont obligés d'offrir davantage. Ce phénomène a été clairement observé dans le secteur du miel au Mexique, du cacao en Bolivie et du thé au Zimbabwe.
   Le versement anticipé d'une partie du prix par les organismes du commerce équitable revêt également une importance cruciale pour les petits producteurs. Ils peuvent acheter des intrants et passer la saison sans avoir recours à des prêteurs. La stabilité liée à la garantie de paiement par anticipation ou immédiatement à la livraison est également très appréciée.
   De nombreuses organisations du commerce équitable proposent aussi, aux producteurs, des services de formation et d'assistance. Ces derniers apprennent à mieux connaître un système commercial qui leur paraissait très complexe, cette familiarisation constitue un avantage supplémentaire.   
   Des cultivateurs de café de Tanzanie, par exemple, parlent désormais de la Bourse de Londres ou de New York en connaissance de cause, et en sachant à quel point elle peut influencer leurs conditions de vie.
 
QUELQUES DEFINITIONS :
 
   *produits éthiques :
 
   -désignent les produits dont les producteurs ont accepté de respecter un ensemble diversifié de contraintes de nature sociale (paiement d'un salaire minimum, non recours au travail infantile, autorisation des syndicats, etc.), environnementale ou financière (répartition des bénéfices au profit de la collectivité locale ou des salariés, ou sous forme de prêts sans intérêt destinés à créer de nouvelles activités, etc.) et qui, de ce fait, sont vendus avec un surprix que les acheteurs acceptent de payer pour manifester leur accord avec ce type de contrainte. Les produits éthiques sont, dans leur quasi-totalité, produits dans des pays du Tiers-Monde, et la charte qui énumère les contraintes est destinée à favoriser un modèle de développement respectueux des travailleurs, de la collectivité et de l'environnement. Il s'agit, au fond, de montrer que, à travers une relation marchande, d'autres objectifs que ceux d'un enrichissement personnel des propriétaires de l'entreprise peuvent être recherchés. La commercialisation de ces produits s'effectue généralement dans des boutiques spécialisées (Artisans du monde, OXFAM, Body Shop...).
 
 
                            *équité :
 
   -désigne une situation dans laquelle chacun dispose des mêmes chances au départ. L'équité n’est pas l'égalité. L'équité implique que chacun dispose des mêmes atouts, l'égalité qu'il en fasse le même usage. L'équité s'intéresse aux situations de départ (accès à l'école, aux soins, à la formation continue, etc.), l'égalité, aux situations d'arrivée (niveaux de revenu,    de patrimoine, de chômage, d'espérance de vie, etc.).
  
   *accords de libre-échange :
 
   -au prétexte du développement économique et de l'emploi, les grands pays n'ont pas renoncé à signer un Accord Multilatéral sur les Investissements (AMI) qui donnerait tous les droits aux investisseurs et imposerait tous les devoirs aux États. Devant la pression de l'opinion publique et de la mobilisation militante, ils ont dû abandonner leur projet de négocier cet accord dans le cadre de l'OCDE, mais la discussion reprend dans le cadre de l'OMC. Les USA, mais aussi la Commission européenne, poursuivent leur croisade libre-échangiste en poussant à la création de nouvelles zones déréglementées, au niveau continental ou intercontinental (projet du Partenariat Économique Transcontinental -PET-, entre l'Europe et l'Amérique du Nord). "Raccourcissement des délais, rétrécissement des distances, disparition des frontières : mais pour qui ? L'abolition de l'espace, du temps et des frontières créé, certes un village mondial, mais tous les individus ne peuvent pas en faire partie. L'élite mondiale rencontre peu de frontières, mais pour des milliards d'êtres humains, les frontières sont toujours aussi infranchissables."
 
  
   *spéculation :
 
   (Rapport mondial sur le développement humain. PNUD, 1999)
 
   -la spéculation est à l’origine des grandes fluctuations du prix du café. Ce sont les bourses de New York et de Londres qui déterminent les prix. Pourtant, le café est cultivé exclusivement dans les pays du Sud. Plus de 5 millions de petits producteurs et d’artisans bénéficient du commerce équitable. En Europe, le café équitable est distribué par l’intermédiaire de plus de 35.000 points de vente, sous 130 marques différentes. On y trouve aussi du chocolat, du thé, des bananes, du sucre, du jus d’orange, du miel et de l’artisanat certifiés équitables.
  
        Le commerce équitable vise à équilibrer les échanges commerciaux entre les petits producteurs du Sud et les consommateurs du Nord. Pourquoi ? Parce que ces échanges s'effectuent au désavantage des petits producteurs de matières premières. Les petits producteurs cultivent la terre, fournissent le travail et la main d'œuvre bon marché, récoltent les produits et effectuent parfois même une première transformation, alors que les pays importateurs accaparent, via les multinationales et avec un immense profit, le fruit de ce labeur. Ce commerce inégal oblige les pays du Sud à recourir à l'aide internationale et à l'emprunt pour subvenir aux besoins de base de leur population. Ce cercle vicieux crée une dépendance des pays producteurs face aux pays consommateurs, un rapport de force qui ne permet pas, à court ou à long terme, le développement durable des communautés du Sud. Le commerce équitable veut mettre fin à cette exploitation des travailleurs du Sud en les traitant en partenaires et non en subordonnés
 
 
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